La dégradation de la patience...
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Pendant mon année scolaire, même en n'étans pas la personne la plus sociable du monde , j'ai fais quelques rencontres, mais l'une de ses rares personnes avec qui j'ai communiqué ne comprenait pas quelque chose: quand on lui demandait jusqu'à ordonnait d'arrêter certains gestes trop tactiles et chiants.
"mais c'est pas grand chose, c'est le ventre..." Stop! Certes, la zone assaillis n'est que "le ventre" et non une zone plus intime... mais même, ce n'est pas une raison. Quand on exprime poliment l'envie que l'on ne touche pas certaine partie du corps (parce que l'on y est plus sensible, par gêne ou autres raisons) la personne fait son possible pour ne plus recommencer au lieu de se lancer de plus belle. Quand on dit non, c'est non. Le but n'est pas d'être désagréable avec une personne, je sais qu'il y à quelque taquinerie entre ami.e.s, mais pas au bout d'une première rencontre (de mon point de vue).
Des amies me le faisaient parfois, mais elles ont arrêtés à la première demande, parce que je n'aime pas ce genre de plaisenterie. Evidement, si on ne souhaite pas que cela nous arrive, on ne le fait pas à autrui, sinon, c'est que l'on ce connaît très bien et que c'est rare ou habituel. Ce qui revient à : c'est accepté.
Dans mon cas, ça ne l'était pas et devoir se montrer aussi désagréable à la limite d'en flanquer une, ce n'est pas la meilleurs option.
(au cas où, vue qu'un dialogue pour expliquer à cette personne que ce geste est des moins appréciable et par la même occasion s'il pouvait arrêter, n'a pas fonctionné, j'ai préféré faire en sorte de ne plus le croisée. La méthode de la fuite, je n'en rougis pas, car la parole n'a pas porté ses fruits.)